« Vampires », l’exposition mordante

Le cinéma et le mythe du Vampire (incarné pour la première fois dans le Dracula de Bram Stoker) sont quasiment nés en même temps, et se sont développés en parallèle. On comprend sans peine la fascination des cinéastes (ou des artistes en général) et du public pour cette figure sombre et éminemment sensuelle. C’est cette même fascination que met en évidence la rétrospective « Vampires, de Dracula à Buffy » à la Cinémathèque.

De Nosferatu à Entretien pour un Vampire, de Coppola à Bigelow en passant par Tim Burton, l’exposition est complète et très pointue. Dans une atmosphère gothique, elle mélange costumes de cinéma, grandes œuvres de Basquiat ou Leonor Fini, affiches kitsch ou gravures somptueuses, mangas ou scénario. On visite ?

Aaah, Buffy, toute ma jeunesse :-))

VAMPIRES, DE DRACULA A BUFFY, jusqu’au 19 janvier 2020, Paris 12e.

14 réflexions sur “« Vampires », l’exposition mordante

  1. princecranoir dit :

    Vue (mais pas dans le reflet d’un miroir), et effectivement c’est une splendide évocation du mythe à travers le prisme du cinéma. Du coup, je le suis revu le vieux Nosferatu dans la foulée. 🦹‍♂️
    Bravo pour cet article, et ces belles photos, qui rendent bien les qualités de cette expo.

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